Serions nous revenus à une époque où la haine et la vengeance n'ont comme but d'exterminer des populations pour l'extension de terre occupée et imposer la suprématie et les desseins d'un individu sanguinaire et dictateur ?

Le Premier ministre Netanyahou ne semble pas se souvenir, ou désire-t-il reproduire une époque où les souffrances de la chasse et de l'extermination.

 Son comportement démontre, qu'il n'a aucune pitié, aucune Humanité, son obsession à faire massacrer, des milliers de femmes, hommes, enfants sous des prétextes fallacieux, pour s'emparer d’une terre gorgée du sang de ces milliers d'innocents, des civiles qui sont piégées pour pouvoir les détruire, les massacrer plus facilement.

 Les hôpitaux, entre autres, sont ignoblement bombardés sans état d'âme. La population attaquée n’est pas des terroristes, mais des civils.

 Il y a extrêmement plus de civils qui sont assassinés par l'armée israélienne que des terroristes, ennemis annoncés par Netanyahou.

Le président de l'Ukraine reçoit des milliards, des armes puissantes en espérant que cette puissance donnée, sans considération des risques de la part des dirigeants des pays, et en espérant que cela ne nous retombe pas sur la tête.

 Alors que des pays mis à feu et à sang en toute impunité, sans qu'aucun dirigeant des pays entre autres européens ne s'en émeuve, n'interviennent pas pour faire cesser un génocide gravissime qu'il est grand temps d'arrêter, la barbarie d'une guerre qui laisse les civils dans la souffrance, la détresse, la mort, des familles entières décimées, par un individu déshumanisé qui rappelle étrangement, un autre ignoble génocide d'une époque pas si lointaine.

Nombre de nos dirigeants sont juifs ou pratiquants, ne peuvent-ils quand même constater que le génocide palestinien est effroyable et que le devoir était depuis le début de les aider, sachant que les crimes de guerre de Netanyahou sont légions, entre autres bombardé des hôpitaux où sont soignés les malheureux civils suites aux mortelles attaques de son armée, une façon d'achever le travail.

Christiane Roufosse