L'AID EL KEBIR

Le massacre islamique de milliers de moutons au nom d’une religion ou plus tôt une coutume barbare et primitive.

L’abattage islamique rituel sans étourdissement préalable aurait été inspiré par Dieu. Pourtant Dieu en s’adressant au peuple d’Israël a dit : Je ne réclame pas de taureau de ta maison, ni de béliers de tes parcs ! Est-ce donc que je mange de la chair des taureaux ? Est-ce que je bois le sang des béliers ? Psaume 50.

Il y a d’autres citations de ce genre. Ce que Dieu a dit dans la Torah vaut aussi pour les cousins éloignés les chrétiens et les musulmans. Rien ne justifie donc dans la religion l’abatage rituel et certainement pas l’abatage sans étourdissement.

Alors pourquoi les élus se cachent-ils derrière des prétextes religieux pour permettre ce honteux massacre sachant que les factures d’organisation, de nettoyage ect… sont honorées par l’ensemble des citoyens.

Le Danemark a banni tout abatage sans étourdissement que ce soit ceux qui se font au nom de la religion juive ou musulmane ainsi que les autres.

Pourquoi est-ce qu’en Belgique ce serait impossible ? En réalité, outre le scandale de la tromperie religieuse, la question de l’abatage du massacre monstrueux sans étourdissement de milliers de malheureux moutons entre autres, reste muselée. Les barbares représentent une large majorité de voies électorales !

Le 03 octobre 2014, jusque tard (plus de 24 heures) sur le terre-plein avenue de Jupille se trouvait un camion Scania Agri Trans avec remorque à deux étages, surchargés de moutons entassés.

De luxueux 4X4 tractant de très grandes remorques chargeaient les pauvres bêtes dans des conditions extrêmement cruelles. Les moutons étaient littéralement éjectés dans les remorques.

Le conducteur du camion, un gras individu faisait son busines sans se soucier du bien-être des malheureuses bêtes.

Les véhicules et leurs remorques remplies de moutons faisaient leurs livraisons dans toutes les rues de Droixhe (Bressoux) et alentours.

Nous avons appelé les forces de l’ordre, mais jusqu’à plus de minuit, les livraisons ont continué sans qu’aucune intervention n’intervienne pour mettre fin à cet odieux manège. Nous savions que, comme chaque année, bon nombre de ces martyres serait égorgés dans d’horribles circonstances avant le matin. Il n’y a qu’à avoir des voisins musulmans pour entendre les pleurs de douleurs de ces pauvres bêtes en souffrance.

L’horreur prend tout son sens ce 04 octobre 2014, fête des animaux, une journée de joie, de respect et d’amour envers nos plus fidèles amis.

Pourtant, cette journée nous a fait vivre le summum de l’horreur, en passant rue de Droixhe. Cette belle journée ensoleillée, c’est tout à coup assombrie, de chaque côté de la rue, une nuée d’individus couleur locale en liesse, à notre droite un grand hangar et des moutons qui attendent la mort atroce à laquelle ils sont destinés.

Cet après-midi, jour de la fête des animaux, les pauvres bêtes piétinent et pleurent comme peuvent le faire les moutons en détresse. Des centaines de moutons ont déjà été égorgés dans d’atroces souffrances depuis le matin. Les uns agonisaient et mourraient sous les yeux des autres qui souffraient, stressaient, paniquaient. Ils savaient que ça allait être leur tour. Le sang coulait à flot, les barbares pataugeaient dedans. C’était la fête macabre pour ces individus. Ils regardaient mourir ces animaux si doux et si brave avec une certaine jouissance. Les énormes containers où étaient jetés sans aucun regret les nombreux restes de ces pauvres bêtes débordaient.

Sans aucune échappatoire, ils étaient tous condamnés à une peine qui ne les concernent pas car nous vivons dans un pays où les cruautés, les mises à mort provocant des souffrances inutiles aux animaux sont punissables, mais certains élus préfèrent oublier nos lois pour nous imposer sans toutefois les connaître des lois d’un autre âge (de façon à bénéficier des milliers voir plus de voix de ces tribaux) que d’instaurer des lois dignes d’un pays dit civilisé.

Cette ignoble boucherie d’une cruauté sans nom exécutée par des musulmans très amateurs de décapitations (entre autres les moutons égorgés le sont jusqu’à pratiquement la décapitation) est un rite d’une barbarie indigne de nos sociétés civilisées.

Que le monde politique se soit fait complice et aie accepté d’importer une pratique étrangère aussi tribale est un véritable scandale et, pour tous les humanistes qui se soucient du bien-être animal, une insulte.

Nous devons aller de l’avant, il faut arrêter d’aller à reculons, il faut également stopper rapidement le laxisme dangereux et le racisme intellectuel qui permet la pratique d’actes innommables au nom de coutumes tribales et barbares. ON NE MASSACRE PAS AU NOM DE DIEU.

Les massacres sont perpétrés par des sanguinaires que certains osent « appeler » erronément humains.

Ce jeudi 09 octobre 2014, l’article du Journal La Meuse intitulé Liège, fête de l’Aïd El Kabîr - Droixhe : 110 veaux sacrifiés, est édifiant. La coutume barbare passe un cran au-dessus de l’ignoble et profite de toutes les largesses de certains politicards.

Non content de massacrer des moutons, ils avouent maintenant massacrer de pauvres veaux (cela fait déjà longtemps qu’ils massacrent ces bovins sans que la loi ne soit appliquée) et soigneusement caché contrairement à ce que l’on essaye de nous faire croire. Les animaux de ferme bovins, caprins, ovidés, poulets et bien d’autres sont massacrés chaque année, non pas seulement à la fête du massacre des moutons, mais pendant toute l’année et toujours de la façon la plus cruelle car l’on respecte leur coutume à la lettre.

Dans bon nombre de communes, il y a une compétence spécifique au Bien-être animal, mais dans certaines autres, il vaut mieux se taire et profiter de ces si nombreuses voies données en échange de faire de notre petit pays, un pays où les lois et les coutumes tribales de certains mettent en danger nos lois, nos coutumes et notre avenir.

La Flandres, tant décriée, a depuis un mois décidé de prendre ses responsabilités dans sa compétence pour le bien-être animal concernant ce grave problème. Merci monsieur Ben-Weyt.

La fête du mouton (massacre, boucherie des moutons) ne peut continuer à subsister chez nous, elle est contraire à la loi qui protège les animaux dans notre pays, une loi qui doit rapidement évoluer, nous sommes au 21è siècle, assez de cette boucherie tribale.

 

                                                                                                                     Christiane ROUFOSSE

                                                                                                                                              

 

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